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3 questions à Sorj Chalandon

3 questions à Sorj Chalandon

Régulièrement, le Who’s Who donne la parole à une personnalité. Le principe est simple : 3 questions, 3 réponses.
Quelques mots ou plusieurs lignes, libre à chacun d’y répondre selon son inspiration.

 

 

 

Après avoir été journaliste à Libération, Sorj Chalandon a posé ses valises au Canard Enchainé en 2009.  Il a reçu le prestigieux prix Albert Londres en 1988 pour ses reportages sur le procès Klaus Barbie et le conflit irlandais. Ce conflit était d’ailleurs au cœur de Mon traitre et Retour à Killybegs (prix du roman de l’Académie française 2011). Dans Le Quatrième mur qui vient de recevoir le Goncourt des lycéens, l’auteur puise une nouvelle fois dans son expérience avec une extrême sensibilité pour évoquer les massacres de Sabra et Chatila.

 



De quoi êtes-vous le plus fier dans votre carrière ?

Je ne sais pas si c'est de la fierté mais je suis heureux d'avoir pu concilier l'écriture journalistique et l'écriture de fiction, restant journaliste aux yeux de mes pairs et devenant auteur au regard du monde de la littérature.



Quel(s) livre(s) auriez-vous aimé avoir écrit(s) ?

Pedigree, de Georges Simenon, pour sa fragilité. Antigone, de Jean Anouilh, pour sa force.



Si vous n'écriviez pas de livres, vers quelle forme d'expression iriez-vous ?

Le dessin. La peinture. Comme pour la littérature, je retrouve dans le dessin à la fois la solitude et le silence.
 


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